Il s'agit du Burn Out.
Pour l'occasion, j'ai décidé de changer de style et de faire un duo de choc avec mon ami félin.
Tu n'y comprends rien??
Normal. C'est lundi matin.
Cela dit, je te laisse cliquer en dessous (oui, juste là, vieille feignasse) pour découvrir le 9 Blogueurs racontent 9 mois du mois de Septembre...
Clique donc! |
J'ai voté et revoté et re-revoté for you Marie !
RépondreSupprimerBonne chance ! OPALE
Et ben bravo pour ces articles qui sauvent, qui font pleurer, sourire... Un peu tout à la fois quoi!
RépondreSupprimerEt j'ajoute : quand est-ce qu'on les distribue à la mater' ? Parce que sérieusement c'est juste salvateur de lite ces lignes!
Bises et félicitations Marie et ses 8 autres comparses!
L'autre jour je relisais l'excellent livre de Violaine Guéritault: Epuisement physique et émotionnel de mères, le burn out maternel, histoire de me sentir moins seule. Je pense que je suis dedans, dans le burn out. J'ai aussi 3 nains, 2 ptits mecs (7 et 3 ans) et une nana (5 mois). qui pleure. beaucoup. la journée. et la nuit aussi.
RépondreSupprimerL'autre jour, un dimanche soir, après un week end reposant comme celui de tout parent, alors que je ne savais plus comment je m'appelais, une personne proche, très proche, connaissant très bien ma situation, mais elle-même célibataire, sans enfants, me dit: ahlala, ce que je suis fatiguée. Moi, maîtrisant mon envie de lui péter le nez, je lui répond calmement que je ne suis peut être pas la meilleure personne à qui dire ça. Et elle me répond: oui mais toi au moins tu ne vas pas travailler demain.... Là je me retiens de lui arracher les dents et lui dit: tu sais, je ne suis pas payée et ce n'est pas reconnu mais je peux t'assurer qu'être mère de 3 enfants c'est du boulot. Et elle de conclure: oui mais toi au moins c'est gratifiant....
Cette personne est encore vivante, je ne comprends toujours pas comment cela est possible.
Bravo pour ce blog magnifique. Il devrait figurer dans le kit de survie de toute maman!
Comme toujours, les mots justes, juste des mots qui font du bien. Merci.
RépondreSupprimerJ'aurais adoré lire ces lignes lorsque mon premier loulou est né, enfin plutôt vers ses 4 mois, où je pleurais à peu près tous les après-midi (son heure critique à lui c'était entre 13h et 15h, pleurs non stop) ou lorsque je me levais la nuit pour la 3 ou 4ème fois...
Alors je les garde précieusement, pour les faire lire à ma meilleure amie, bientôt enceinte j'espère!