5 mai 2015

Mon premier semi-marathon (de Genève)

Article rapide aujourd'hui mais j'ai pas mal de gens qui m'ont envoyé de gentils messages suite à ma photo sur les réseaux sociaux (photo sur laquelle j'ai une médaille et les joues rouges) après le semi-marathon de Genève.
Messages divers et variés pour me dire "youhou tu déchires ma poule" et pour me demander "comment on fait pour courir sans être une tomate essoufflée et cramoisie au kilomètre 2?".


Hé bien, je m'en vais vous délivrer mes conseils pour préparer un semi-marathon. Ahahaha.
Non, je blague. Aucun conseils ici, je pense que vous saurez en trouver partout ailleurs mais je n'ai pas la prétention d'avoir un quelconque savoir en matière de running à part celui que je pratique, c'est à dire "le running pour le plaisir".

Alors évidemment, on ne court pas un semi-marathon en première intention, on commence par de plus petites courses, par des courses sympathiques et adaptées à son niveau pour voir si ça nous plaît et si on tient le choc. Perso, j'ai commencé par une course nature de 6 kilomètres avec une copine, puis par un 10 kilomètres (en couples et avec fous rires) et ensuite j'ai fait le semi (enfin 1 an plus tard hein) avec le Mâle (mais lui, loin devant).


Pour préparer une course, vous trouverez un maximum de conseils sur internet, sur des blogs ou sur des sites plus professionnels comme celui de Kalenji. Idem pour la préparation, soit vous vous trouvez un programme en ligne à télécharger, soit carrément en MP3 comme Jiwok, ou bien vous investissez dans un magazine genre Running qui prépare bien souvent des dossiers "se préparer pour un semi ou un marathon" (ou un 10 km).
Les conseils sont bons et les plans d'entraînements sont bien conçus, que ce soit sur Kalenji, Jiwok ou dans ces magazines spécialisés.

De mon coté, j'ai la chance d'être en club de course à pied donc de pouvoir disposer d'un plan personnalisé en fonction de mon rythme à moua. En gros, le coach nous regarde évoluer puis, en fonction de nos performances, nous propose un plan sur quelques semaines, alternant les sorties longues, les sorties courtes mais avec travail du ryhtme et de la vitesse, puis des sorties plus "pentues" et enfin sorties plus cool.

BON. Sur le papier c'est très bien et il aurait fallu en gros que je sois très assidue pendant 6 à 8 semaines avant mon semi.
HUM. En fait, bin, à l'épreuve de la réalité, ça a été un peu plus compliqué. 
Déjà, mon cher et tendre a des horaires un brin aléatoires ce qui fait que j'ai raté pas mal d'entraînements. J'en ai fait certains seule mais ce n'est pas pareil, il faut le dire.
Ensuite, j'ai été très très fatiguée (chute de tension et vertiges) donc j'ai fait un break pendant 15 jours (à 1 mois du semi) et vraiment, j'aurais été incapable de courir pendant ces 15 jours là.

Puis, j'ai recommencé très cool (à coup de petites courses de 40/45 minutes) et BAM, une semaine avant le semi, je me tope une bronchite-trachéite, à pleurer de douleur à chaque quinte de toux. PARFAIT.

De ce fait, j'ai totalement arrêté de courir la dernière semaine, m'octroyant juste un petit 5 kilomètres le vendredi avant le semi (du dimanche) histoire de me dire que je n'avais pas tout perdu.

La preuve qu'on peut aller courir un semi-marathon avec un vieux reste de bronchite et pas mal de motivation. Et une pratique régulière auparavant, à coup de deux à trois sorties par semaine. Je n'avais jamais couru 21 km, ma plus grosse sortie était de 13 kilomètres. Gulp.


Le jour J, nous nous sommes levés très tôt, après quelques réveils nocturnes d'ailleurs et nous avons mangé un succulent gâteau énergie. Sérieux, je ne peux que vous conseiller cette recette qu'avait partagé Céline sur WonderfulBreizh (du blog Merci pour le Chocolat) et qui a le mérite d'être totalement naturelle, contrairement aux gâteaux "Sport" vendus chez Décathlon et autres, qui sont un peu chimiques et pas franchement bons. Perso, je ne mange jamais de trucs comme ça et je ne bois pas d'Isostar et autres liquides bleutés, c'est hyper mauvais et je ne digère pas du tout.

Le gâteau-là, vous pouvez y aller, je l'ai mangé (enfin une bonne part) avec un café au lait à 6h00 et on courait à 8h30.

au loin, le départ (et la pluie)

L'avantage d'aller courir à Genève, c'est l'ORGANISATION.
Tout est impeccablement rodé et précisément organisé. Nous avons récupéré nos dossards ainsi que des sacs qui nous serviraient de vestiaires. Nous les avons garni de la grosse polaire (pour après) et nous les avons déposé à un stand. L'équipe d'organisateurs les a donc ensuite emmené à l'arrivée pour que nous puissions les récupérer (merveilleux non?).

merveilleux temps - le look du sac poubelle était de mise

J'avais pris le sas > 2h10 avec ma co-runneuse Maman et auteur (voilà son bouquin en passant hein) Magali et le Mâle celui de 2h (frimeur le Mâle).
Du coup, nous sommes parties à 8h40, je n'ai jamais aussi peu patienté dans un sas de départ (pas de grande expérience vous me direz mais ça a été super rapide).

Le sourire genre "Hin Hin" d'avant le départ

avant le départ

Et là, c'était parti, musique dans les oreilles (ça fait un peu associale mais ça me permet de tenir) et kway orange de chantier. Nous avons couru ensemble avec Magali nos cinq premiers kilomètres sous la pluie et dans la campagne puis je l'ai laissée filer devant, j'étais moins rapide (avouons-le) et surtout, n'ayant jamais couru en entraînement plus de 13 kilomètres, il me fallait opter pour la technique du "je commence trèèèèèèèèès cool pour tenir trèèèèèèèèèèèèèèès longtemps".

J'ai donc couru, pas trop vite, en me disant qu'il pleuvait drôlement fort et en me félicitant d'avoir pensé à la casquette. Les baskets trempées dès le deuxième kilomètres parce que j'ai fait mon Nain à plonger dans la GROSSE FLAQUE.
J'ai donc couru, de plus en plus vite (mais pas trop), trouvant mon rythme comme une grande.
Je me suis arrêtée à 10 km pour boire un peu d'eau, à 13km pour boire encore un peu d'eau et discuter avec des gens qui coupaient des oranges par milliers, et à 15 km pour boire encore un peu d'eau et prendre un gel DEGUEULASSE genre "coup de fouet".

On m'avait conseillé d'en avoir un sur moi au cas où je flanche car c'est juste une dose pur sucre. Du coup j'ai pris.

Les ravitaillements, c'est cool, tu t'arrêtes quelques secondes, tu fais un sourire, tu dis "allez, ça va le faire" et tu cherches une poubelle parce que TOI, tu n'aimes pas jeter ton gobelet par terre (alors qu'il y en a juste 3000 au sol).
 Oui, je suis cette personne qui a fait des détours pour aller jeter mon verre d'eau à la poubelle, on ne se refait pas, que voulez-vous.

J'ai donc bien couru jusqu'au ravitaillement des 15 kilomètres, le parcours était franchement chouette, dans les villages, sur les chemins, sur de la route, avec des gens qui nous encourageaient et puis une belle ambiance. Je pense que quand on court dans les derniers, on peut profiter d'une bonne ambiance puisque personne n'est à la fin pour la performance, ceux qui courent dans les derniers sont là pour terminer la course et se faire plaisir.

Du coup, à 15 kilomètres, je me suis dit "bon ma cocotte, là tu vas un peu en chier". Et en même temps, il ne me restait plus grand chose. J'ai donc continué sur mon rythme, en accélérant un peu parce que je me sentais bien. Jusqu'à 18 kilomètres où j'ai eu un petit coup de mou, voyant qu'il y avait encore pas mal de rues à emprunter avant la ligne d'arrivée. J'ai donc slurpé une gorgée de cet immonde gel. Coup de fouet ou pas, je suis repartie de plus belle, doublant quelques personnes et profitant d'un temps plus clément. Courir dans les rues de Genève, c'est sacrément chouette, il faut le dire.


Et puis à un moment, il ne reste plus qu'un kilomètre, les enfants sur le bord de la route qui tendent les mains pour qu'on tape dedans et malgré la fatigue et les jambes douloureuses, hé bien on tape dans ces petites mains tendues. Et si ça avait été mes mômes je crois que j'aurais fondu en larmes.

J'ai continué et j'ai vu la ligne d'arrivée, ma montre qui me disait "Bravo le veau, tu vas le boucler en moins de 2h20".
J'étais seule à arriver, sentiment étrange que de passer la ligne et de voir les visages d'inconnu vous féliciter et vous sourire. Une médaille qu'on vous enfile et le temps qui s'arrête.
Un serré avec mon chéri, que j'ai laissé gagné (à 2h01), paraît que c'est plus flatteur pour son égo.

à l'arrivée (mine réjouie)
Ma montre a ajouté quelques mètres pour la forme (en vrai je l'ai déclenchée un peu tôt)




Retrouver ma co-runneuse du tonnerre et se dire qu'on a réussi. 
Purée, des mômes, plein, des nuits de merde et des journées à ne penser qu'aux autres, des journées "ne t'arrête pas". Tout ça et on l'a fait. Seules.
C'était important pour moi, un peu plus d'un an après mon régime, un peu plus d'un an après mon démarrage en course à pied, avec mon poumon moisi et ma ventoline dans ma poche arrière (qui n'a pas servi) de réussir ce semi, un peu comme un "je peux".

Jalousie des Nains pour ma médaille (gniark)

Je n'ai pas eu mal (enfin si, le lendemain au réveil j'ai failli tomber de mon lit tant mon cuissot était courbaturé et j'ai eu l'air ridicule toute la journée d'hier à marcher comme une demeurée et à grimacer à chaque fois qu'il a fallu que je m'accroupisse).

Et voilà mes résultats. Non je ne suis pas dernière et admirez mon dernier kilomètre à l'allure d'un escargot neurasthénique...


La récupération a été soft (avec 4 nains), nous avons fait une sieste d'une heure (merci les petits dessins animés) et nous avons été ensuite nous balader tranquillement (un peu au radar) et un coucher à 22h nous a permis d'être souriants pour le lever de 6h30 le lendemain matin. Prochaine course, une petite course nature de 9 kilomètres, autour de châteaux et sur des sentiers. J'aime beaucoup les courses natures, ça fait moins mal aux genoux et on a généralement de la belle vue.

Enfin voilà, c'était vraiment un chouette moment, je suis heureuse de l'avoir fait.
Je suis fière de moi, ouaip, pour une fois, d'avoir su seule, de ne pas avoir douté un instant, sauf peut être durant le premier kilomètre, que j'allais y arriver. Le mental compte énormément et je peux vous dire qu'il aura fallu presque 30 ans pour que mon mental me dise tout ça. Me dise que même seule, j'allais le faire. Je suis fière de ça. Pas de la performance. Mais de ne pas avoir douté de moi.


40 commentaires:

  1. Bravo Marie ! S'inscrire à une course c'est plutôt motivant. Je fais le mud day samedi mais sans aucune pression :-)

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    1. Ah super, alors là tu me raconteras je suis super curieuse car terrorisée par cette course (le côté escalade et électricité)

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  2. Alors moi je trouve que tu es un brin modeste dans ce billet.
    Le jour où je tiens un semi à ce rythme là, je finis en faisant le cabri.
    Tu m'épates. BRAVO et respect !
    Un bravo au mâle aussi.

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    1. Et moi je ferais le cabri aussi!
      Sérieusement, tu l'as fait, tu n'as pas douté ET ton chrono est plus qu'honorable!!! (je tiens à peine 5km à ce rythme...)

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  3. bravo ! admirative je suis.

    j'ai fait la semaine passée les 20km de Lausanne :D
    ahah nan je déconne, les 2km des petits et j'ai applaudi le nain et le mâle depuis mes béquilles.

    et donc ça vaut la peine de traverser le lac en avril prochain et d'aller faire les 2km avec les petits, super ambiance. et ensuite tu peux enchainer sur les 4, 10 ou 20 kil, ou les trois à la suite.

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    1. On avait prévu d'aller faire une course à Lausanne oui!! Merci du coup du conseil

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    2. Je plussoie les 20km de Lausanne, super ambiance pour les enfants, et... il y a une GARDERIE !! Oui oui oui :)

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  4. Hé bien tu peux être fière !!

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  5. BRAVO!!quel magnifique acte de bravoure je suis impressionnée!

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  6. Chapeau Marie. Tu m'as mis les larmes aux yeux avec les gosses qui tendaient leurs mains. Et le bravo le veau jai hurlé lollll.

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  7. Bravo!!
    Le fait de ne pas avoir couru la semaine avant à part 5 km, c'est très bien, tu fais du jus et en plus ce n'est plus là que tu fais ton entrainement.
    L'hydratation c'est dès de le 5eme km (non je ne te gronde pas :-))
    Quant à la mud day : ouais bof bien chere payée à mon sens , j'ai fait la première édition, sans plus. (bon je ne suis pas objective car ayant des dossards à payer hors de prix en triathlon clair que pas envie de me ruiner dans un truc plus festif que vraie course à pied)

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  8. Bravo championne!!!!

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  9. D'une poumon moisi à une autre poumon moisi : Bravo! Magnifique! Ça file un espoir fou pour après la convalescence.
    Merci de partager ces moments qui font rêver et se dire "un jour peut-être".
    Le plus fort, c'est que tu nous racontes tout ça sans te la jouer.
    Des bises.

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  10. Ccil, un nain et trois demi-nains5 mai 2015 à 17:04

    Félicitations !
    Moi j'ai fait une course coloré de 5 km avec mes beaux-enfants de 15, 13 et 10 ans. En entrainement je n'avais jamais dépassé les 4 km... ben d'être à plusieurs ça motive carrément. Le coté "run color" on te balance de la poudre de maïs fluo à chaque km te donne envie d'avancer (et de gerber si tu ouvres la bouche :-)
    Je vais me renseigner sur les courses natures, ça pourrait bien nous convenir.
    Vivement que tu puisses courir avec tes nains, ça fait une chouette activité, surtout si vous êtes deux parents runners.
    Encore félicitations !

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  11. Félicitations pour ce 1er semi bouclé en beauté, et surtout, surtout sans pression, ni douleur ! Il y a plein de chouettes courses dans la région, peut être qu'on se croisera un jour sur l'une d'entre elles (m'enfin, je vais d'abord pondre fin juillet, et je verrai pour la reprise l'année prochaine....) !

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  12. bravo pour ce semi marathon! tu m'épates, 4 enfants, un emploi du temps bien rempli! J'ai 3 enfants (6, 4 et 2 ans) et je me suis remise à courir sur 7 km et je dois dire que ton expérience me donne envie de continuer à m'entrainer.

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  13. Ben tu peux être plus que fière je te le dis !!!!!

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  14. Tu sais quoi ? Tu me donnes envie d'essayer ! Avec ton poumon moisi, je me dis que mince, après tout, pourquoi pas ? Je n'ai qu'un poumon moisi (le droit était vraiment trop moisi il a fallu me l'enlever) et celui qui reste carbure à la vento, mais quand je te lis, je me dis, zut, si je n'essaye pas je suis sûre de ne pas y arriver !
    J'en profite pour te dire merci pour ton blog, que je lis assidûment avec joie :-) C'est la première fois que je commente. Ton auto-dérision, ton réalisme et ta volonté m'ont aidé à traverser des moments de doute avec mes adorables petits nains.
    Bravo pour tout !!

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  15. Bravo Marie!! En plus avec ce temps il fallait le faire :)
    Allez je le fais l'an prochain, tu m'as donné envie!

    PS: si tu aimes courir dans les rues de Genève inscris-toi à la course de l'Escalade en décembre, c'est pas long (5km pour les femmes) mais c'est dans la vieille ville et c'est une course très bonne ambiance et familiale. Moi je la fais chaque année et cette année je compte la faire avec ma fille (les enfants peuvent s'inscrire à partir de 6 ans et courent environ 1km).

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  16. Bravo Marie, il y a quelques années j'étais à la Foulée d'Annemasse, j'ai donc fait beaucoup de courses (de 10km) en Haute Savoie (Capeçone, 10km de Thonon, celui d'Annecy ...), mais je n'ai jamais réussi à passer les 10km, psychologiquement je ne m'en sens pas capable. Chaque fois que je commençais, je me demandais ce que je faisais là, c'était dur ! Mais le bonheur d'arrivée et la fierté et le bien être qui suit ... c'est magique ! Et on y retourne ! Maintenant j'ai mal au genou (personne ne trouve pourquoi ) et ça me manque énormément. Ta prochaine course, c'est l'Allingeoise ? Sinon le 1er WE de décembre il y a la course de l'Escalade à Genève, c'est court, mais intense et il y a une ambiance !!! Bonne continuation. Sportivement

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  17. Bravo !! et Félicitations Aussi pour le verre jeté dans la poubelle :-) vraiment !

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  18. Veinarde, pour le semi de Grenoble Vizille, il n'y avait pas de médailles juste un verre en plastique recyclé, par contre les petits ont eu une médaille pour les courses des enfants, snif.

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  19. Et ben bravo ! Et franchement oui! Tu peux être fière !
    J'ai jamais réussi à courir... Jamais... Je pense pas que j'y arriverai un jour mais je crois qu'au fond, je n'en ai pas vraiment envie non plus.
    Par contre, je suis fière de moi quand je réussis une belle rando, toute seule comme une grande. Je compte le dénivelé, le temps que j'ai mis et je m'auto-félicite en pique niquant avec les choucas! Voilà mon trip à moi! ;-)

    Chapeau bas en tout cas pour cette jolie performance : you did it!

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  20. Chapeau pointu !!!

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  21. bravo!!! tu as fait une superbe performance alors que tu n'avais jamais couru une telle distance, chapeau bas!!
    je me suis bien reconnue.....dans l'envie de ne pas salir notre belle nature ;)
    Pour ce qui est du reste, on en reparle dans un an, quand j'aurai (à mon tour) un peu plus progressé....

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  22. Bravo Marie!
    Ce sentiment de fierté de l'avoir fait est la meilleure des motivations!

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  23. Ce que j'aime le plus, c'est "l'article rapide" !!
    Trêve de plaisanterie, moi qui déteste courir, tu m'as donne envie !
    Et le plus important : félicitation pour cette belle performance et ce joli moment de plaisir !

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  24. félicitations Marie ! ton temps est très bien pour un premier semi ! trouver le temps et la force d'aller courir en ayant 4 petits..chapeau !

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  25. Bravo, à quand le marathon??
    C'est marrant je lis souvent des temoignages de filles qui courent moins vite que leurs hommes... Moi je suis meilleure que lui, mais ca va il ne m'en veut pas. C'est aussi parce qu'il se blesse tout le temps alors il a du mal à progresser. Il n'a jamais couru de semi mais il serait sans doute capable de faire 1h35, moi j'ai fait 1h29 et j'en suis fiere!

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  26. Bravo !!! Non attends, bravissimo !!! quand je pense que j'atteins péniblement 9 kilomètres, j'ai encore du boulot^^

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  27. Bravo Marie. Vraiment tu es impressionnante! C'est bon d'etre fiere de soi. Je me suis relancee à courir avec les 10 kil de Lausanne. Je confirme les commentaires précédents, c'est une super ambiance, tres belle course. En revanche, je pense que pour les 20 kil il faut s'accrocher car beaucoup de montées. Mais pourquoi pas?

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  28. Un peu à la bourre, mais un grand BRAVO quand même !! C'est chouette de pouvoir être fier de soi, de temps en temps ! Et pour 21 km, tu peux être carrément fière ! :D

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  29. Bonjour et bravo pour ta performance ! Grâce à ton blog, je me suis remise moi aussi à la course à pied et ça me fait un bien fou, physique et moral, alors je te remercie pour cela ! Peux tu me dire si tu es satisfaite de ta montre et ses références car courir avec mon portable, c'est sympa mais peu pratique pendant la course, si je veux vérifier ma vitesse par exemple ... Encore merci, grâce à toi je reprends confiance en moi, et je suis d'accord sur le passage sur le mental !! Ado, quand je courais, mon mental ne tenait pas 10s quand l'idée d'abandonner me traversait l'esprit, et maintenant, je ne lâche rien !

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  30. Bravo Marie ! Ca donne envie !
    Dès que j'ai "pondu", je m'y remets !

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  31. Bravo !
    Je viens de m'y mettre (grâce à toi), entre les horaires de mâle, les angines, rhumes, préparations de leçons et congés des loulous : j'atteins péniblement 1km avant de devoir marcher, en respirant comme un phoque (et une copine vient de me proposer un t-shirt "Si trouvé par terre, merci de traîner jusqu'à la ligne d'arrivée", ça correspond assez). Je me prosterne donc à tes pieds en voyant la distance parcourue, après une année de course, le poumons défaillant, la bronchite et 4 nains. Oserais-je dire que ça me motive et m'encourage (dès que l'angine est guérie, je m'y remets un peu plus assidûment!)

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Et si tu es une buse, bah, envoie un mail, je t'expliquerai ça un peu mieux...

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